Émilie Witwicki-Barbet est née dans le Nord, où elle a grandi.
Après des études d’espagnol à l’université de Valenciennes, elle revient dans l’avesnois où elle travaille comme institutrice.
Mariée et maman de deux enfants, elle a toujours écrit. C’est à la faveur d’un concours de nouvelles organisé par les Éditions Cauchemars qu’elle publie son premier texte, une nouvelle décalée mettant en scène un personnage qu’elle voudrait voir devenir récurrent : Joe Fallon. Elle crée ensuite avec une poignée d’amies la Confrérie de l’Imaginaire. L’association se distingue par plusieurs activités : les chroniques de livres SFFF, mais aussi l’organisation du salon ValJoly’Maginaire et la petite édition.
Émilie Witwicki-Barbet est le premier auteur publié par Val Sombre Éditions, la maison d’édition de la Confrérie. Les Insoumis est son premier roman, le début d’une trilogie qui s’intitule Demain est un autre monde. Des vampires envahissent le monde et quelques humains insoumis vont tenté de s’organiser.
Encouragée par les avis très positifs depuis la sortie de ce premier tome, elle prévoit la sortie du tome 2, Les Révoltés, pour novembre 2012.
– Anthologie Momies – Éditions Cauchemars – septembre 2010 (épuisée)
– Demain est un autre Monde, tome 1 Les Insoumis – Val Sombre Éditions – octobre 2011
– Ils ne devaient pas s’aimer (Anthologie) – Val Sombre Éditions – mai 2012
– Demain est un autre Monde, tome 2 Les Révoltés – Val Sombre Éditions – novembre 2012
Votre dernier coup de coeur fantastique ?
Mon dernier coup de cœur fantastique est le troisième tome des Étoiles de Noss Head de Sophie Jomain : Accomplissement. Loin d’être mièvre comme bon nombre de roman mettant en scène des vampires, des loups garous et des jeunes filles, il est fort et émouvant à la fois.
Votre auteur fantastique préféré ?
Aucun en particulier, chacun apporte sa pierre à l’édifice.
Quel pouvoir aimeriez-vous posséder ?
Aucun pouvoir ne me tente, mais je ne serais pas contre le fait de sortir mes crocs plus souvent !!
Pour vous, le fantastique, c’est… ?
À la littérature ce que l’utopie est au rêve.