 Frédéric Anarratone est né le 3 juillet 1959 dans le nord de la France, à Boulogne-sur-mer, un jour de grand et beau soleil, phénomène plutôt rare dans ce pays habituellement pétri d’embruns et de grisailles océanes. Comme pour faire écho à cette clémence inhabituelle, l’espagnol Fédérico Bahamontés, l’aigle de Tolède, gagnait le tour de France cette année là. Un été faste à n’en point douter pour les Frédéric du monde entier.Marié et père de deux garçons prénommés Arthur et Oscar, Frédéric Anarratone, amoureux des sports en tous genres et aussi d’une petite île française de l’océan indien dans laquelle il séjourne régulièrement, vit actuellement à Amiens où il exerce le métier de médecin. Passionné par tout ce qui touche à l’imaginaire, il a débuté en écrivant des scénarii de jeux de rôle pour ses amis avant de se lancer tardivement, et un peu par hasard, dans l’écriture d’une trilogie romanesque de fantasy épique dont le premier volet a été publié en juin 2009 chez Bayard jeunesse. Un beau cadeau du destin pour récompenser son demi-siècle de présence assidue sur cette bonne vielle planète terre.
Inspiré par Tolkien, Zelalny, Leiber, Moorcocck et surtout Jacques Vance, l’univers d’Oscarthur est un mélange d’aventures fantastiques, de féerie, de bons (et parfois moins bons) sentiments et de combats héroïques dans un monde parfois cruel mais le plus souvent pétri d’étrange et de merveilleux. Le récit contient aussi, espérons-le en tous cas, une bonne dose d’humour et de philosophie. Chaque page participe ainsi au voyage initiatique qui va amener les personnages vers ce qu’ils ont de meilleurs. Sans révéler tous les secrets du roman, la fin se termine plutôt bien. C’est de l’édition jeunesse après tout… |
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Oscarthur tome 2 : la liste de sang, septembre 2010. |
Votre dernier coup de coeur fantastique ? Hunger games, la trilogie. Votre livre de chevet, celui qui vous suivra toute votre vie ? Le seigneur des anneaux de Tolkien. Si vous pouviez voyager dans le temps, où iriez-vous ? Dans le temps, j’aimerais visiter l’Angleterre victorienne et pourchasser Jack l’éventreur dans les quartiers embrumés de Londres. Pour vous, une bonne histoire, c’est… ? Une bonne histoire c’est une histoire qui vous laisse un grand vide et un peu de tristesse quand elle se termine. |
Un auteur éminemment sympathique à qui nous avions remis le prix oriande lors d un printemps des légendes