Jean-Luc Marcastel
… C’est en l’an 1969 (celui où l’on a marché sur la Lune, mais c’est une coïncidence), que Jean-Luc Marcastel naquit en la bonne ville d’Aurillac, dans le sauvage département du Cantal.
Or, comme tout habitué de la météo le sait, le climat de ce beau pays est rude. Les hivers y sont longs. On y pratique une gastronomie authentique et goûteuse, avec des plats riches en fromage et au nom chantant comme : la Truffade.
Il eut donc tout le temps de se perdre et de se retrouver dans les pages de Dumas, Hugo, Seignolle, Lovecraft, Tolkien, Henneberg, Céline, Leigh Brackett, Edgar Rice Burroughs, Edmond Hamilton, C.J.Cherry…
À lire les mots des autres, il eut bien vite envie de coucher les siens par écrit, et commença, dès 10 ans, à consigner sur papier ses propres histoires. Cette passion, depuis, ne le lâcha plus et prit le pas sur la plupart de ses autres activités, au grand dam de ses professeurs de sciences et de mathématiques dont il mettait les cours à profit pour rédiger ses livres.
Après des années d’études à Aurillac, un bac A3 (Lettres et art) en poche, il poursuivit des études d’Histoire à l’Université du Miraïl à Toulouse, avant de revenir à Aurillac après un passage par le Pas-de-Calais.
Après quelques années en qualité d’enseignant de 1997 à 2003, mais préférant toujours raconter ses histoires plutôt que celles des manuels scolaires, Jean-Luc Marcastel s’est enfin consacré totalement à mon œuvre et a remporté quelque beaux succès éditoriaux avec des romans tels que « Louis le Galoup », « Le Dernier Hiver » aux éditions Hachette, « L’Auberge entre les Mondes » chez Flammarion, « Le Simulacre » aux éditions Matagot (grand prix de l’Imaginaire 2015) et plus récemment « Le Retour de la Bête » et « Libertalia » aux éditions Gulf Stream (tous les deux nominés pour le prix des incorruptibles) ainsi que « L’Agence Lovecraft » ou encore « Yoko » ou « Le secret de la Dame Blanche » aux éditions Didier Jeunesse, le planète opéra post apocalyptique « Thair » chez Leha… et tant d’autres à venir…